Saison 18/9 - Février

Preußen Münnster - FC Kaiserslautern - 01/02/2019

Source : https://www.bild.de/ + https://www.der-betze-brennt.de/

82e minute: Les supporters de Kaiserslautern exhibent une bâche volée aux fans de Münster, il y a dix ans ! Des fans locaux envahissent le terrain, obligeant la police à intervenir. L'arbitre Gräfe envoie les joueurs aux vestiaires et la partie est interrompue pendant plusieurs minutes. Heureusement, le jeu peut reprendre peu de temps après.








Kaisrslautern

Nîmes-Montpellier : le MHSC appelle ses supporters à respecter l’interdiction de déplacement - 01/02/2019

Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/

C’est via un communiqué que le Montpellier Hérault appelle ses supporters à ne pas se déplacer à Nîmes dimanche, lors du derby. Même si le club annonce également regretter cette interdiction de déplacement, provoquée par un arrêté ministériel.

La rencontre aura lieu le dimanche 3 février à 15 heures au stade des Costières. Nîmes-Montpellier, un match sous haute tension, suite aux événements qui se sont déroulés lors du match aller, lorsque les nîmois ont brandi une bâche volée quelques mois plus tôt aux montpelliérains.

Suite à ces débordements, le préfet du Gard avait demandé au Ministère de l’Intérieur de prendre un arrêté d’interdiction de déplacement des supporters du MHSC. Cet arrêté a été pris il y a quelques jours, provoquant la colère des montpelliérains.

De lourdes sanctions

Dans son communiqué, le MHSC annonce prendre « acte de ces arrêtés et remercie par avance ses supporters de respecter cette décision émanant du Ministère de l’Intérieur et exposant les contrevenants à de lourdes sanctions. »

Une décision regrettée

Le MHSC ajoute « regretter cette décision qui prive ses supporters du derby et ses joueurs de leur soutien. »

France : Les supporters de foot, cobayes des lois liberticides - 01/02/2019

Source : https://www.alternatives-economiques.fr/

En 1956, le romancier américain Philip K. Dick publie la nouvelle, Minority report, dans la revue de science-fiction Fantastic Universe. Il imagine un futur où les crimes et les délits ont disparu, une société sans violence et sans délinquance. Grace à des mutants doués de précognition, l’ensemble des méfaits sont prédits à l’avance. Les supposés malfaiteurs arrêtés avant même qu’ils ne passent à l’acte.

Des têtes de coupables

Ce récit pose la question de la justice et du libre-arbitre. Quelle aurait la valeur d’une arrestation et d’un jugement lorsqu’aucune faute n’a été commise ? Comment le droit pourrait-il s’appliquer si rien n’est fait ? Tout ne serait que supposé, imaginé, prophétisé. Bien qu’il s’agisse d’une œuvre de science-fiction, Minority Report rappelle une triste réalité en France : depuis 2006, les autorités ont donné le droit aux préfets d’arrêter et de sanctionner une catégorie bien particulière d’individus, sans qu’aucun délit ne soit constaté.

Il s’agit des supporters de football.

Ces derniers, suite à une politique active de lutte contre l’hooliganisme, sont devenus victimes d’une législation liberticide et anti-démocratique. Des interdictions de stade et de déplacement ont pu être signés manu-militari, par anticipation, sans qu’aucun jugement ne soit acté, sans qu’aucune autorité judiciaire légitime ne reconnaisse le méfait. Des milliers de fans se sont retrouvés, et se retrouvent encore aujourd’hui, condamnés sur la seule base d’une supposée atteinte à l’ordre public ou d’un « risque » de comportement violent. Comme dans la nouvelle de Philippe K. Dick, l’Etat Français a donné le droit de sanctionner sans délit.

Bientôt chez vous

Malgré l’absence de bilan, de preuves d’efficacité, malgré les critiques émanant à la fois du syndicat de la magistrature, dénonçant un «manquement à la démocratie», de l’Association Nationale des Supporters (ANS), ciblant les très nombreuses erreurs judiciaires, ou de l’avocat Pierre Barthélémy, principal défenseur des groupes ultras dans le football, rien n’y fait : cette législation dystopique s’est maintenue.

Pis encore, elle va être prolongée par l’actuel gouvernement d’Edouard Philippe et appliquée dans le cadre des manifestations. Annoncée le 7 janvier dernier par le Premier Ministre, la loi « anti-casseurs » va intégrer ces nouveaux outils judiciaires au droit à manifester. Autrement dit, lors d’une manifestation, on pourra être arrêté sans preuve, être incarcéré et interdit de déplacement sur la base de simples présomptions, avant même d’avoir fauté.

Le football est ainsi devenu le laboratoire social en matière de restrictions des libertés pour toutes et tous.

Le règne de l’arbitraire

Est-ce cela l’idéal de justice de notre pays ? Le symbole de notre démocratie toute puissante ? Dans le cadre du sport, bien qu’aucune autorité politique ne se soit inquiétée d’un tel manquement au droit, les chiffres existent et prouvent l’absurdité d’une telle législation. D’après un rapport sénatorial paru en 2016, deux tiers des interdictions de stade et de déplacement ont été retoquées a posteriori par un juge. L’ANS montre d’ailleurs, régulièrement, que la majorité de ces interdictions sont prises sans aucune réflexion et de façon particulièrement autoritaire.

Des supporters sont vilipendés et sanctionnés chaque semaine pour avoir critiqué la direction de leur club, pour avoir défendu les ultras, pour avoir acheté ou vendu des billets sur le marché noir, pour avoir allumé des fumigènes. Rien à voir avec l’objectif initial de lutte contre les violences et l’hooliganisme !

Lorsque la future loi « anti-casseurs », des militants politiques pourront-ils être arrêtés par signature administrative ? Des opposants interdits de déplacement simplement parce que l’on craint des débordements ? Le droit à manifester va-t-il être remis en cause dans notre démocratie ? Dans tous les cas, c’est la liberté fondamentale d’aller et venir qui est entravée.

Il est urgent de s’opposer à un tel appareil judiciaire, aussi bien dans le football que lors des manifestations. Parce que la liberté est la même partout, parce que nous avons les mêmes droits, que nous soyons fans de football ou militants syndicalistes ou politiques. Parce qu’il ne faut pas que la France prenne le visage d’une dystopie inquiétante et dangereuse.

Free-fight - 02/02/2019

Source : Mail

Paris FC & Valenciennes Youth (France) vs Millwall Youth (Angleterre)
12х11
Victoire PFC & Valenciennes



Millwall

Free-fight - 02/02/2019

Source : Mail

AZ Alkmaar (Hollande) & Aalbor (Danemark) vs Nancy (France) & Saarbrücken (Allemagne)
18x18
1 min.
Victoire AZ & Aalborg

Free-fight - 02/02/2019

Source : Mail

Feyenoord (Hollande) vs Genk (Belgique) & Sittard (Hollande) U21
12х12
2 min.
Victoire Feyenoord

Hollande : Willem II - FC Groningen - 02/02/2019

Source : Mail

Groningen lads

Allemagne : Hallescher FC - Carl Zeiss Jena - 02/02/2019

Source : https://jena.otz.de/

À la fin du match, la police a dû intervenir contre les supporters de Jena qui ont tenté d'aller sur la pelouse en cassant les grilles de leur tribune.

Bristol City - Swansea City - 02/02/2019

Source : https://www.bristolpost.co.uk/

A la 18ème minute de jeu, des incidents ont éclaté entre supporters des deux équipes. Les fans de Swansea, fortement encadrés à l'extérieur du stade, où des incidents ont éclaté, venaient juste de faire leur apparition dans l'enceinte de Bristol City.






Swansea mob

Espagne : Levante UD - Getafe CF - 02/02/2019

Source : https://punchng.com/

11 ultras de Getafe ont été arrêtés avant le match. Selon la police, ils se trouvaient dans les parages du stade de Valencia, armés de bâtons, lorsque une bagarre a éclaté avec les ultras locaux.

Millwall FC - Rotherham United - 02/02/2019

Source : Mail

Rotherham lads

Reims - OM - 02/02/2019

Source : https://rmcsport.bfmtv.com/

Des affrontements entre supporters marseillais sur une aire d'autoroute

La semaine a été placée sous le signe de l’apaisement à l'OM après une réunion tenue entre la direction, le staff, les joueurs et des représentants des groupes de supporters du club. Cela a abouti à une union sacrée au sein du club marseillais. Cette accalmie n’a pas empêché les supporters de différents groupes de se chercher et de se trouver.

Deux groupe de supporters en sont venus aux mains

Selon nos informations, deux groupes de supporters en sont brièvement venus aux mains, sur une aire d’autoroute entre la cité phocéenne et Reims. De quoi augurer une soirée tendue à Delaune où les hommes de Rudi Garcia affrontent Reims, ce samedi (21h) lors de la 23e journée de Ligue 1.




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Source : L'Union

Reims: des «Marseillais» attaquent un bar de supporters rémois



Victoire de l’OM 6 chaises à 3 » ; « Pour une fois qu'un Marseillais cadre quelque chose » ; « C'était l'action la mieux construite du côté de Marseille » ; « Ils ont une meilleure attaque là que sur le terrain » ; « Vu qu'ils sont nuls au foot, faut bien s'occuper autrement »...

Ca jase, sur les réseaux sociaux, depuis la diffusion d’une vidéo tournée samedi soir boulevard du Général-Leclerc à Reims. Devant des passants médusés et une clientèle terrifiée, une dizaine d’individus tout de noir vêtus ont attaqué Le Club House, bar fréquenté par de nombreux supporters du Stade de Reims.

Des femmes et des enfants à l’intérieur

Les assaillants ont surgi vers 19 h 45, une heure avant le match Reims - Marseille. Ils ne portaient aucun signe distinctif mais la police, arrivée après la bataille, « suppose » qu’il s’agit de sympathisants marseillais. L’action a d’ailleurs été revendiquée sur la page Facebook d’un groupe alimentée par tous les ultras de France : « Reims vs Marseille 02/02/2019 ! Indep Marseille attaque le bar des MesOs Reims », est-il écrit en commentaire de la vidéo reprise sur la page. Les MesOs sont des supporters indépendants, hors de toute structure (contrairement aux Ultrem constitués en association), ce qui fait des « Indep Marseille » leurs homologues phocéens.

L’attaque fut très rapide.« Le bar était bondé car il y avait plein de supporters qui attendaient d’aller au stade : des familles avec des enfants, des jeunes, des vieux », raconte le gérant, Michel Aprile. « D’un seul coup, on a entendu des cris et vu sur le trottoir une dizaine de personnes qui nous balançaient des verres pris je ne sais où. Ma porte était ouverte à ce moment-là car des gens étaient en train de sortir. Pour se défendre, plusieurs de mes clients ont jeté des verres à leur tour et lancé des chaises. Certains ont voulu sortir pour affronter les gars mais j’ai retenu tout le monde, fermé la porte et baissé le rideau métallique. »

Pendant une quarantaine de secondes, les assaillants se sont acharnés sur le rideau à coups de pied et coups de chaise. Ils ont également tapé sur le volet côté rue de la Magdeleine, lui aussi abaissé à temps, contrairement à la vitrine opposée. Un seul des excités s’est posté devant, à la fin de l’attaque : il a cassé cinq carreaux, tout en haranguant les assiégés, avant de repartir d’un pas tranquille rue de la Magdeleine, direction de fuite du commando. Aucun de ses membres n’a été retrouvé, mais l’enquête ouverte pour « dégradations » permettra peut-être d’en identifier certains.

Michel Aprile fait ses comptes : deux chaises brisées, une trentaine de verres cassés (la plupart pendant le mouvement de panique), 200 euros pour les cinq carreaux, devis en cours pour le rideau de la fenêtre qui reste coincé «mais le plus gênant, c’est la perte de mon samedi soir ».« Je n’avais plus le coeur à ouvrir. Une fois que tout s’est terminé, les clients sont partis et j’ai fermé dans la foulée. » Depuis qu’il gère Le Club House, jamais il n’avait subi pareille attaque.

Nîmes Olympique - Montpellier HSC - 03/02/2019

Source : http://www.football365.fr/

Le derby retour entre Nîmes et Montpellier, ce dimanche aux Costières (15h00), se jouera sans supporters montpelliérains. L’issue hélas inéluctable d’une rivalité exacerbée.

Pour la première fois depuis octobre 1992, un derby entre Nîmes et Montpellier en Ligue 1 aura lieu aux Costières. Mais avant même le match de ce dimanche après-midi (15h00), la fête est un peu gâchée car elle ne concernera pas les fans héraultais. Là où leurs homologues gardois avaient pu assister au match aller à la Mosson, eux n’ont pas été autorisés à se rendre aux Costières suite à un arrêté du ministère de l’Intérieur qui leur interdit ce déplacement. Longtemps, supporters et dirigeants du MHSC ont fait cause commune pour annuler cette décision, mais les Ultras de Montpellier ont rendu les armes cette semaine, appelant les supporters pailladins à ne pas se rendre dans le Gard « dans un devoir de responsabilité ».

LE MATCH ALLER AVAIT ÉTÉ ÉMAILLÉ D’INCIDENTS

350 policiers et gendarmes seront mobilisés pour ce derby classé à haut risque. Alors les fans héraultais craignent « une véritable chasse aux supporters montpelliérains » si ceux-ci venaient à braver l’interdiction de déplacement. A l’aller, un déplacement encadré par les forces de l’ordre avait permis à 600 Nîmois d’assister au match. Le président du MHSC, Laurent Nicollin, a plaidé pour que la même mesure soit mise en place ce dimanche, en vain. « Si les autorités estimaient qu’il y avait un risque à cause d’un trop grand nombre de supporters, on pouvait limiter les effectifs. Ils auraient dû être 700-800, on était prêt à faire un effort et à les limiter à 200-300, bien encadrés. On voulait faire les choses correctement pour qu’il n’y ait pas de problème. On pensait être capable de faire ainsi », a-t-il regretté cette semaine au micro de RMC.

La décision des autorités prend sûrement racine dans les débordements survenus lors du match aller. Si l’effondrement d’une porte dans le kop montpelliérain, survenu après l’ouverture du score d’Ambroise Oyongo, n’a évidemment rien à voir, la rencontre avait émaillée d’incidents divers. Le bus des supporters nîmois avait été caillassé à son arrivée au stade, et ceux-ci s’étaient vengés en fin de partie en brandissant un bout d’une bâche des supporters montpelliérains volée en amont de la rencontre. Il avait fallu une intervention des CRS pour empêcher certains Ultras pailladins de traverser le terrain pour aller en découdre avec leurs rivaux. La Commission de discipline avait ensuite prononcé un huis clos partiel de deux matchs à l’encontre du stade de la Mosson.



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Source : https://www.objectifgard.com/

Deux supporters placés en garde à vue

La rencontre de dimanche après-midi, entre le Nîmes Olympique et Montpellier Hérault au stade des Costières, s'est déroulée sans incident majeur. Notamment en raison du dispositif policier qui était très important, avec plusieurs compagnies de CRS ou encore un hélicoptère.

Les ultras nîmois, environ 250, ont tout de même lancé des chants et des insultes anti-Montpelliérains à l’arrivée de ces derniers au stade des Costières. Le car du MHSC, banalisé, a été accompagnée de quelques jets de bouteilles et de pétards.

Deux supporters des crocos ont été interpellés durant la rencontre. L'un pour s'être introduit sur la pelouse, l'autre pour des jets de projectiles et de fumigènes. Un ultra nîmois a été arrêté après des jets de fumigène, alors qu'il assistait à une rencontre aux Costières après plusieurs matches d'interdiction administrative de se rendre dans le stade. Les deux hommes mis en cause sont, ce dimanche soir, en garde à vue au commissariat de Nîmes.

Nîmes

Schalke 04 - Borussia Mönchengladbach - 02/02/2019

Source : Mail

Schalke & FC Twente

Allemagne : Würzburger Kickers - VfR Aalen - 02/02/2019

Source : https://www.tag24.de/

Avant le match, une trentaine de fans de Würzburger Kickers a tenté d'arreter un bus transportant une soixantaine de supporters d'Aalen, afin d'en découdre avec eux. La police est intervenue et a interpellé douze personnes, âgées de 16 à 35 ans. Elles ont été placées en garde à vue jusqu'à la fin de la rencontre.

PSV Eindhoven - Fortuna Sittard - 03/02/2019

Source : Mail

Bâche des casuals du PSV 4ème génération !


Fortuna fans

Everton FC - Wolverhampton Wanderers - 02/02/2019

Source : Mail

Burnley FC - Southampton FC - 02/02/2019

Source : Mail

Saints

Portsmouth FC - Doncaster Rovers - 02/02/2019

Source : Mail

Doncaster

Standard de Liège - RSC Anderlecht - 03/02/2019

Source : https://www.dhnet.be/

Cela a chauffé entre les supporters après le Clasico



Des échanges de pétards et fumigènes, mais aussi de bouteilles en verre et de canettes remplies, ont eu lieu, derrière la T4, que se partagent les supporters du Standard et ceux d'Anderlecht.

A cet endroit, un simple grillage sépare les supportes liégeois et anderlechtois. Si pendant le match, les incidents entre les deux camps se sont faits plutôt rares - à l'exception de quelques lancers de sièges - les lancers de projectiles se sont multipliés à la sortie.

"Nous sommes sortis 10 ou 15 minutes après la fin de la rencontre", raconte un habitué de Sclessin. "Là, on a vu des bouteilles, des canettes fermées et des pétards passer par-dessus du grillage, en provenance du parking des Anderlechtois. Il y avait des gamins avec nous, ce n'était pas très rassurant et on n'a pas traîné là. Je n'ai vu personne être atteint directement par les projectiles", a-t-il toutefois précisé. A ce moment, quelques Rouches auraient répondu avec des lancers, aux-aussi, de pétards. "Mais les plus fervents supporters se trouvaient encore à l'intérieur du stade, donc c'est à ce moment que les choses auraient pu empirer."

Un feu d'artifice a également été tiré vers les fans du Standard...

Coupe de Hockey des Pays-Bas : Hijs Hokij Den Haag - AHOUD Devils - 03/02/2019

Source : https://www.omroepwest.nl/

Plusieurs bus de supporters de hockey sur glace d'AHOUD Devils ont été arrêtés par la police, sur l'autoroute  l'A4, à la station-service de Peulwijk, dimanche après-midi. Les bus étaient en route pour la finale de Coupe contre Hijs Hokij, au De Uithof de la Haye. Après la fouilles, des fumigènes, de grandes quantités d'alcool et des gants de combat ont été trouvés.
Les bus n’ont pas été autorisés à continuer leur route et ont été renvoyés à Nimègue. En conséquence, les supporters, dont un bon nombre étaient ivres, ont raté la finale, a indiqué le porte-parole de la municipalité de La Haye.

Deux supporters, âgés de 27 et 55 ans, ont été arrêtés.



Selon la police, après la rencontre, 20 à 30 membres du noyau dur de NEC Nimègue a crée des troubles dans le centre-ville d'Arnhem ce soir. Ils ont été interceptés par les forces de l'ordre.



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Source : Mail

Nimègue lads

AEK - PAOK - 03/02/2019

Source : https://newsbeezer.com/

La veille du match, des incidents ont éclaté à Patras, lorsque 80 à 100 supporters de l'AEK armés ont voulu attaquer le local des fans du PAOK. La police est fort heureusement, intervenue très rapidement. Il n'y a pas eu de blessé.

Pendant le match, la police a investi la tribune présidentielle après des jets de projectiles (bouteilles, billes d'acier, etc) par les fans de l'AEK, vers Ivan Savvidis, le patron du PAOK.

Hooliganisme: Jelle Borkelmans condamné à deux ans de prison - 04/02/2019

Source : https://www.lavenir.net/

Le tribunal correctionnel de Bruges a condamné lundi 16 hooligans du Club de Bruges pour leur implication dans une bagarre à l’issue du match de football entre le Club de Bruges et Naples en 2015.

Les faits remontent au 26 novembre 2015 lors du match opposant le Club de Bruges à Naples dans le cadre de la phase de groupe de l’Europa League.

Après la rencontre, qui s’était déroulée à huis clos en raison de la menace terroriste, une bonne trentaine de supporters brugeois s’étaient rendus dans le centre-ville et en étaient venus aux mains avec des fans napolitains. Un policier italien avait été sérieusement blessé.

Au total, 11 hooligans ont été placés en détention préventive. Jelle Borkelmans était l’un d’entre eux. Il a été libéré le dernier, après un mois et demi derrière les barreaux.

Le ministère public avait requis 250 heures de travaux d’intérêt général, ainsi qu’une amende de 1.800 euros et une interdiction de stade de minimum cinq ans. Des peines de 120 à 200 heures de travaux d’intérêt général et des interdictions de stade allant de 18 mois à trois ans avaient été réclamées pour les autres prévenus. Les supporters brugeois étaient poursuivis pour coups volontaires avec préméditation et constitution de bande.

«Ils jouaient au dur et il y avait un sentiment de groupe, mais ce n’est pas suffisant pour être un gang», avait plaidé l’avocat de Jelle Borkelmans, Walter Van Steenbrugge. Selon lui, M. Borkelmans est arrivé le dernier et n’a donné aucun coup.

Tous les prévenus ont finalement été acquittés des préventions de formation de gang. Le tribunal a en effet estimé que la descente tumultueuse au centre-ville était le résultat d’une «collaboration impulsive, spontanée, temporaire, instable et sans fondement».

En fin de compte, Jelle Borkelmans a été condamné à une peine d’emprisonnement de deux ans. Sept autres prévenus écopent de leur côté de huit mois à un an de prison. L’un d’entre eux, Björn F. (36 ans), a été reconnu coupable de coups et blessures volontaires à l’encontre du manager de son club, Vincent Mannaert. Ce dernier avait été blessé au poignet lors d’une bagarre au stade Jan Breydel. Björn F. avait par ailleurs été écroué plusieurs mois pour des bagarres en marge de FC Bruges-Antwerp en octobre 2017. Sept autres hooligans ont, eux, été condamnés à un service communautaire allant de 80 à 100 heures. Un seul prévenu a obtenu une suspension de peine.

Les personnes impliquées ont par ailleurs toutes écopées d’une interdiction de stade. Jelle Borkelmans est ainsi interdit de stade durant cinq ans. Les autres sont privés de stade pour une durée allant de un à trois ans. M. Borkelmans et sept autres hooligans sont aussi interdits de prendre part aux déplacements à l’étranger pour les matchs européens du Club de Bruges, et ce de 48 heures avant jusqu’à 48 heures après le match.


East-Side (Archive)

Real Betis - Atletico Madrid - 02/02/2019

Source : mail

Suburbios Firm Atletico

Espagne : Lugo B - Racing Ferrol - 02/02/2019

Source : mail

Ferrol ultras