Saison 08/09 - Janvier

Belgique: Les supporters de Genk seront rejugés - 07/01/2009

Source: http://www.rtlinfo.be

Le parquet de l'Union Belge a fait appel de la décision concernant l'attitude des supporters de Genk face à Tubize ("les Wallons, c'est du c..."). En première instance, rien n'avait été retenu contre eux. Le président de la fédération, François De Keersmaecker s'était dit outré de cette décision, mais ne pouvait intervenir, vu la séparation des pouvoirs qui existe aussi à l'Union Belge.

L'affaire sera rejugée par le comité exécutif comme l'exigent les règlements puisque le comité d'appel en avait été saisi en première instance suite à l'implication de Louis Derwa, membre d'une commission (licences) de la fédération. Seul le volet "supporters de Genk" sera rejugé mais pas celui du manager de Tubize que ne concerne pas la plainte du parquet. Le RC Genk risque une forte amende et la sanction de devoir disputer une rencontre à guichets fermés, en application des règlements FIFA. Le club limbourgeois a déjà été condamné pour des faits similaires, en coupe de Belgique, lors du match face à l'Olympic de Charleroi. A l'époque, il bénéficia d'un sursis probatoire. Mais cette fois, il s'agit de récidive et le sursis n'est donc plus évident.

Lyon: Prison ferme pour supporters racistes - 07/01/2009

Source: L'Equipe

Quatre supporters lyonnais, proches de l'extrême-droite, ont été condamnés mardi soir en correctionnelle à Lyon à des peines de 12 mois de prison ferme ou en partie avec sursis pour avoir roué de coups deux frères d'origine maghrébine, en marge d'un match en 2006. Les prévenus, dont deux étaient en possession d'un autocollant du FNJ (Front National de la jeunesse), étaient poursuivis pour violences aggravées à caractère raciste, en réunion et avec arme par destination.

Le 25 février 2006, vers 20h30, Rachid Harji et son frère Medhi, alors âgés de 19 et 17 ans, arrivent en retard au stade de Gerland pour assister au match OL-Rennes, lorsqu'ils croisent une dizaine de supporteurs ultras, éméchés, certains le crâne rasé. Selon les témoignages de deux stadiers, ces derniers «se sont jetés sur eux et les ont roués de coups de pieds et de poings», et frappé à coups de bouteille, avant d'être interpellés. Mehdi et Rachid Harji ont eu respectivement 22 et 20 jours d'interruption totale de travail. Saluant le témoignage «pas revanchard et pas haineux» des deux victimes, la procureure a déploré «de ne pas avoir entendu de regrets» des prévenus. «On est en présence de racistes décomplexés, qui n'aiment pas la "racaille"», a souligné l'avocat des victimes, Me Hervé Bambanaste.

Espagne : 19 expulsions en un match ! - 05/01/2009

Source: Maxifoot

Fait rarissime dans le football, dix-neuf joueurs ont été exclus lors du match de championnat régional espagnol entre Linense et Saladillo. La rencontre se passait bien jusqu'à la 54e minute. L'équipe de Linense menait 1-0 et jouait à dix contre onze. Un accrochage entre deux adversaires a ensuite fait dégénérer la partie. Une grande bagarre générale a éclaté entre plusieurs joueurs des deux formations et des supporters. L'arbitre, José Manuel Barro Escandon, a quitté la pelouse et décidé d'expulser neuf joueurs de chaque équipe, soit dix-huit joueurs en plus du premier exclu. Evidemment, la rencontre a été interrompue.

Suisse: Un blessé au couteau dans une bagarre au restoroute de Lully (FR) - 03/01/2009

Source: ATS

Lully FR | Une bagarre impliquant une trentaine de personnes a éclaté entre des supporters du HC Servette et une famille originaire des Balkans vendredi soir au restoroute de Lully (FR). Un supporter a été blessé d'un coup de couteau. Deux personnes ont été arrêtées.

Une troisième est en fuite, a indiqué la police cantonale fribourgeoise dans un communiqué. Toutes trois font partie d'une "famille hollandaise, originaire des Balkans", selon les termes de la police, et avaient pris la fuite à pied après l'agression qui s'est produite aux alentours de 19h00. Cette famille est constituée de cinq personnes dont deux enfants.

Neuf supporteurs parmi la cinquantaine présents sur les lieux au moment des faits sont restés à disposition de la police en tant que témoins. Les autres ont pu regagner Genève à bords de leurs cars et escortés par la gendarmerie vaudoise. Ils revenaient de Berne où leur équipe a perdu contre le CP Berne par 0-3.

Espagne - Confrontation entre Kameni et deux fans - 05/01/2008

Source: http://www.foot01.com

En fin de contrat en juin prochain, Carlos Kameni devrait quitter l'Espanyol Barcelone, où il évolue depuis 2004. Lundi, le gardien camerounais formé au Havre a été pris à partie par deux supporteurs du club catalan lors de l'entraînement. « Tu ne vas pas nous manquer si tu ne prolonges pas ton contrat », aurait déclaré l'un d'eux, en référence à l'erreur commise par le portier dimanche en championnat à Bilbao (1-1). « Je suis un professionnel, respectez mon travail, respectez-moi », aurait répondu Kameni avant d'essayer d'en venir aux mains. Deux coéquipiers se sont alors interposés pour éviter une bagarre.

Suisse: Langnau - Bienne - Hockey - 03/01/2009

Source: ATS

Débordements à Berthoud (BE) après le match Langnau - Bienne
heurts | Des supporters biennois se sont fait les auteurs de débordements samedi soir en gare de Berthoud (BE) après le match de hockey Langnau - Bienne perdu par leur équipe. La police a fait usage de balles en caoutchouc. Une personne a été arrêtée.


Une vingtaine de supporters biennois en correspondance à Berthoud ont lancé des pierres contre des policiers, peu après l'arrivée de leur train à 22h46. Certains d'entre eux avaient le visage dissimulé, indique la police bernoise. A l'exception de la personne interpellée, le groupe a pu monter dans le train en direction de Berne, où d'autres débordements se sont produits. Les heurts se sont ensuite poursuivis à Bienne. Le jeune fan arrêté est un homme de 23 ans qui se trouvait fortement sous l'emprise de l'alcool.

Brest - Guingamp - 09/01/2009

Source: mail (merci à l'expéditeur)

(vue coté Locaux)

Dans les jours précedents le derby Breton, les contacts sont pris entre les deux parties. Les Ultras Brestois proposent donc un rendez-vous hors centre ville de Brest, dans un jardin public. Les Guingampais nous font confiance jusqu'à environ une heure du rendez-vous fixé et engagé par les deux camps.
18 h : Les Brestois sont sur place, au nombre de 30. Nous appelons une premiere fois la partie adverse, ils nous laissent entendre qu'ils attendent encore quelques gars de leur groupe et arriveront d'ici 15/20 min environ. On attend avec impatience, on laisse couler un gros quart d'heure, une demie-heure plus tard toujours rien. On rappelle, et là à notre grande surprise, on apprend qu'ils annulent le rencard fixé. On sait qu'ils sont dans un bar sur Brest. Certains jeunes brestois, en on croisé, dans un quartier, on suppose un bar où ils pourraient se trouver et on décide donc d'y aller.

18h45 / 19h00 : Le groupe Brestois arrive sur place, et les guingampais sont là. Coup de chance pour nous! Leur leader sort du bar, et veut discuter avec les nôtres. Pas forcement envie de discuter coté Brestois, vu qu'encore une fois la NSG nous a bien menée en bateau. Un brestois sort du groupe et va directement sur le leader guingampais, ce dernier prendra quelques coups avant de rentrer dans le bar très rapidement. Le groupe guingampais sort du bar au compte goûte, pour atteindre environ une dizaine d'unité. Face à eux nous sommes environ 20/25, entre 5 et 10 gars manquent à l'appel de notre coté (voitures prévues pour se déplacer en ville). La charge est lancée coté brestois, les visiteurs rentrent dans le bar illico-presto, seul 2 à 3 gars de chez eux restent au contact (contact tres violent), pour environ 7/8 brestois, beaucoup voyant la scene pliée d'avance renoncent à aller au contact, vu leur faible nombre et leur appréhension. Ils tentent de ressortir du bar pour certains, quelques verres ou bieres fusent des deux cotés. Le patron du bar sort, téléphone déjà à l'oreille, on comprend vite que les flics vont pas tarder et on repart.

Bilan : grosse victoire brestoise et bonne organisation (lieu et horaire), dommage que les guingampais qui sont si motivés au téléphone ne le soient plus dans la rue. Mais on commence à s'y faire. Groupe de 30 brestois (toutes générations).

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Source: mail (merci à l'expédieur)

CR NSG.

Le contact est pris les jours précédents le derby entre les deux camps. Il est proposé un lieu et un horaire de rencontre, à l’écart du centre ville, pour un contact a nombre égal.
Le jour même, devant la vague des désistements de dernières minutes et voyant les troupes mettre du temps à se réunir, nous sommes contraints d’en venir à une triste conclusion : Le rendez vous semble compliqué à assumer de la part d’une NSG amoindrie composée ce soir d’une quinzaine d’éléments.

Cependant, nous indiquons notre position par téléphone aux locaux, qui, débarquent dix minutes après. Bien sur, ce ne sont pas les 15 éventuels protagonistes d’une rencontre dans un bois qui rappliquent, mais le double, ce qui nous conforte dans nos doutes.

Déjà dehors, 4/5 Guingampais font face, et tentent de réunir les troupes, mais il est compliqué de sortir du bar qui reçoit une volée de tessons. Rapidement le patron ferme ses portes et appelle les bleus.
Nous sommes donc moins d’une dizaine à faire face a la bande Brestoise, revancharde, et surtout bien plus nombreuse (une trentaine de mecs).
Les coups pleuvent (violent) et les bouteilles fusent de part et d’autres, ce qui vaudra de belles coupures au visage pour l’un des notre.
Logiquement et rapidement, les Brestois prennent le dessus, puis s’esquivent à l’arrivée de la milice locale.
Victoire Brest sans appel.

Apres match quelques types(?) nous suivent pres du stade et se montrent provocants, quelques coups sont distribués, entrainant des frictions avec la police.
Plus tard quelques UB se montrent intimidants vis-à-vis de jeunes Nsg au Mac do et se feront remettre en place par la demi-douzaine de NSG restante dans un bistrot adjacent.
Dans la nuit 5 ou 6 mecs (Ub ou affiliés ?), provocateurs, se feront corriger au détour d’un bar Brestois, par les derniers Guingampais, passant par hasard dans le coin.

NB : La NSG n’à jamais mener personne en bateau, en proposant deux confrontations a nos voisins la saison passée

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Source: mail (merci à l'expéditeur)

Suite au CR guingampais, les brestois souhaitent apporter quelques précisions .

Les guingampais nous ont jamais donner leur position pour ce qui est de l'avant match (bar).

Environ 20 brestois pour l'apres-match, mais la NSG refuse tous contacts. Derby fini pour eux. Ok, on laisse couler.

Au McDo, 4 brestois pas un de plus, ni un de moins, ont proposés à la NSG un contact, alors qu'ils étaient 6. Refus de leur part.

Par la suite quelques brestois isolés et en sous nombre, tomberont effectivement sur le groupe NSG, quelques coups distribués de part et d'autres, mais sans réel plus.

Le groupe guingampais qui pour une fois, face à nous, se présentait 100 % NSG, nous laissent vraiment penser que sans leurs "amitiés" assument beaucoup moins les choses.

Nous ne sommes pas là, pour faire leur procès, tout le monde commence à savoir que pour le peu d'activité du coté de Brest, nous n'avons jamais tenu de propos mensongers dans nos comptes-rendus.

SUJET CLOTURE. MERCI AUX PROTAGONISTES

Gallagher ancien hooligan ? - 10/01/2009

Source: Maxifoot

Noel Gallagher, singer/songwriter du groupe le plus célèbre de Manchester (City) a récemment déclaré au quotidien britannique The Sun qu’il avait fait partie d’un groupe de hooligans dans sa jeunesse.

Il aurait gardé le contact avec certains hools des Citizens, période 80’s lorsqu’il était de bon ton de castagner du supporter de Leeds. Il avoue même avoir fait ses armes d’apprenti-chansonnier dans les tribunes de Maine Road, bien avant de signer son premier contrat discographique.

Serait-il l’auteur de Blue Moon ? Eh non, l’hymne de City est tiré d’une comédie musicale des années 30 et parle de pleine lune et de chance inespérée…

Pas de bol, l’équipe n’a rien gagné depuis 1976 et les dirigeants ont contacté Taiwo en vue du mercato… Don’t look back in anger !

Xerez CF - Tenerife - 11/01/2008

Source: TV (merci à l'expéditeur)

Le match a été interrompu à la 20e minute de jeu, pendant 5 minutes, par un homme d'une 50aine d'année qui est rentrée sur le terrain avec un caliquot et un bouquet de fleurs blanches demandant justice pour son fils (assassiné). Les flics l'ont accompagné gentiment et il a été applaudi par tout le stade.

Bordeaux - Paris SG - 11/01/2009

Source:

PROCHAINEMENT

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Source: Sud Ouest

BORDEAUX - PSG. Des affrontements ont eu lieu samedi soir entre supporteurs du PSG et Ultramarines. Les policiers ont interpellé neuf personnes : huit Parisiens et un Girondin

Un lever de rideau musclé

Ils ne sont pas venus pour faire la causette, ni même pour parler football. Une soixantaine de supporteurs du PSG se sont rendus samedi soir au siège des Ultramarines, rue Georges-Bonnac à Bordeaux. Il était presque minuit. Environ 150 supporteurs des Girondins étaient présents dans le local, selon la police. Ils venaient de regarder le multiplexe de football à la télévision lorsqu'ils sont sortis dans la rue pour accueillir leurs « assaillants ».

Résultat : des affrontements violents ont éclaté sur la voie publique. Les Parisiens, dont certains étaient munis de protège-dents, ont utilisé des bâtons, des cannettes et même des fusées éclairantes à bout portant. Et l'on s'est battu au ceinturon, notamment, à la veille du match d'hier soir.

Quatre blessés

Des projectiles ont été lancés sur la quarantaine de policiers intervenus rapidement. Pour calmer le jeu, ces derniers ont d'ailleurs fait usage de bombes lacrymogènes et de Flash-Balls, à huit reprises. Le chien de la brigade canine a même séparé quelques protagonistes particulièrement excités.

Quatre Bordelais ont été légèrement blessés et conduits à l'hôpital. Les forces de l'ordre ont procédé à neuf interpellations : huit Parisiens, dont deux sont connus pour des faits de hooliganisme, et un Girondin. Tous ont été placés en garde à vue au commissariat central et devraient être jugés aujourd'hui devant le tribunal correctionnel, dans le cadre des comparutions immédiates. Les policiers, qui avaient été informés qu'un « fight » était prévu à Bordeaux entre les supporteurs des deux équipes, avaient mis en place un dispositif important, à la gare notamment. Mais les Parisiens, qui aiment à jouer les forces de l'ordre, étaient arrivés par la route, semble-t-il par petits groupes. Ils s'étaient retrouvés sur les terrasses de Mériadeck avant leur descente chez les Ultramarines.

« Nous n'avons fait que nous défendre », clame l'un des Bordelais présents. Un rendez-vous avait-il été pris entre les deux camps pour en découdre, comme le soupçonnent les enquêteurs ? « Nous n'avons pas du tout cet état d'esprit-là » assure ce Girondin, qui affirme que des saluts nazis ont été effectués par les supporteurs du PSG. « Ils ne nous aiment pas car nous sommes ouvertement antiracistes. C'était juste de l'autodéfense de notre part. Ils nous ont attaqués, on a riposté, et nous étions même moins d' une centaine. »

« Ce ne sont pas les supporteurs de foot qui font la loi à Bordeaux », tonnait hier le contrôleur général Albert Doutre, patron des policiers de Gironde, qui a convoqué les représentants des Ultramarines pour les mettre en garde contre de tels comportements. Hier, avant le match, le dispositif de sécurité a été durci : 500 policiers et gendarmes étaient mobilisés en plus de l'hélicoptère de la gendarmerie. En fin d'après-midi, les cars des supporteurs parisiens sont arrivés au stade Chaban-Delmas dûment escortés par les forces de l'ordre.

AJ Auxerre - Marseille - 10/01/2009

Source: mail (merci à l'expéditeur)

Une trentaine de jeunes marseillais ont affronté une vingtaine d'indeps auxerrois dans un parc. Victoire marseillaise, qq ceintures de part et d'autres..

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Source: mail (merci à l'expéditeur)

"Les marseillais etaient une cinquantaine, ceiture en main contrairement aux auxerrois qui etaient une petite vingtaine..."

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Source: mail (merci aux expéditeurs)

Moblilisation d'environ 40 Marseillais sur les coups de 19h30 à coté du stade.
A 20h ,2 indeps viennent nous prevenir de leur arrivée dans les 5 minutes qui suivent.
Les indep Auxerrois arrivent groupés 25-30 mecs et quelques gars restés sur le pont. Regroupement face a eux, nous lançons la charge , contact bref plusieurs tetes à tetes , mais direct à l'avantage des Marseillais. Fuite du reste des Auxerrois chassés par les Marseillais.
Victoire sans appel de Marseille.
Quelques ceintures+canettes coté Marseillais, idem coté Auxerrois + torches lancées à notre passage sous le pont.
Groupe Marseillais jeune mais motivé.

PLUS DE RAJOUT AUX COMPTES-RENDUS CI-DESSUS.
MERCI

Slovaquie: HC ZVVZ Milevsko - IHC Písek - Hockey - 10/01/2009

Source: https://www.youtube.com

https://www.youtube.com/watch?v=ot4iXFsEsKc

Atletico Madrid - Athletic Bilbao - 11/01/2009

Source: EFE

Le match retardé par le lancement de boules de neige.
Les supporters du Fondo Sur lanceront des boules en neige en direction du gardien Gorka Iraizoz

La partie opposant l'Atletico Madrid à l'Athletic Bilbao a commencé avec quelques 5 minutes de retard suite au lancement de boules de neige par les supporters locaux présents dans le Fondo Sur.
La cible principale étant le gardien de Bilbao.

César Muñiz Fernández, l'arbitre de la rencontre a demandé au délégué local, Carlos Galet, de faire un appel au micro afin que les supporters se comportent correctement.

Traduction Underground Fans

VIDEO: http://es.youtube.com/watch?v=PRL4q_1_sYo

Espanyol Barcelona - Almeria - 11/01/2009

Source: TV (merci à l'expéditeur)

Uche (Almeria), auteur d'un doublé, a été victime de cris racistes.

Espagne: incidents en Catalogne - 11/01/2009

Source: TV (merci à l'expéditeur) + http://www.gaceta.es/12-01-2009+mossos_investigan_agresion_racista_un_equipo_boixos_nois_otro_formado_por_argentinos,noticia,18,51,43781

En Catalogne, 3è regional, un match opposant des jeunes immigrés (majoritairement sud-américains) et les Boixos Nos a tourné à bagarre générale. 8 joueurs de l'équipe de Rosario Central ainsi que leur président ont été hospitalisés. Il est reproché aux autorités le peu de présence policière alors qu'elles étaient aux courants des risques.

Condamnations en France - 12/01/2009

Source : http://www.fcgb.net/

La venue du PSG ce week-end s'est accompagnée de nombreuses violences dans la nuit de samedi à dimanche à Bordeaux.

60 à 80 supporteurs parisiens ont déboulé face au siège des Ultramarines, situé dans le quartier de Meriadeck, et les policiers ont dû employer des gaz lacrymogènes pour séparer les 150 personnes, dont certains étaient armés de barres de fer, poings américains et de divers projectiles...

Trois pseudo-supporters du PSG ont été condamnés à 1 mois de prison ferme tandis que 5 autres hooligans parisiens et un supporter bordelais ont écopé de 15 jours de prison.

Les 9 jeunes hommes condamnés pour violences avec armes en réunion et violences envers personnes dépositaires de l'autorité publique ont immédiatement été conduits à la maison d'arrêt de Gradignan. Outre la période de détention, la peine des supporters est assortie d'un sursis de 5 mois pour trois d'entre eux et de 5 mois et 15 jours pour les 6 autres...!



KOB 1978

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Source : LE MONDE

Hooliganisme: prison ferme pour huit supporteurs du PSG et un de Bordeaux

Trois supporteurs du Paris SG ont été condamnés lundi à un mois de prison ferme tandis que 5 autres hooligans parisiens et un bordelais ont écopé de 15 jours de prison après les violences qui ont eu lieu à Bordeaux dans la nuit de samedi à dimanche. Poursuivis pour violences avec armes en réunion, et violences envers personnes dépositaires de l'autorité publique, le tribunal a prononcé des peines plus sévères que les "deux à quatre mois" de prison assortie de sursis qu'avait réclamé le ministère public. Un mandat de dépôt a été délivré à l'encontre des 9 jeunes hommes qui ont immédiatement été conduits à la maison d'arrêt de Gradignan (Gironde). Outre la période de détention, la peine des supporteurs est assortie d'un sursis de 5 mois pour trois d'entre-eux et de 5 mois et 15 jours pour les six autres. Le commissaire principal de la sécurité publique de Bordeaux, David Book, a expliqué à l'audience que ses services avaient été informés qu'un "fight", c'est-à-dire une confrontation, avait été organisé entre supporteurs Parisiens et Bordelais, en marge de la rencontre de championnat de dimanche soir au stade Chaban-Delmas. Dans la nuit de samedi à dimanche, "de 60 à 80 supporteurs parisiens" ont déboulé face au siège des Ultramarines, un club de supporteurs des Girondins, situé dans le centre de Bordeaux. Les policiers ont dû employer des gaz lacrymogènes pour séparer "les 150 belligérants" dont certains étaient armés de barres de fer, poings américains et de divers projectiles. Deux hooligans dont un Bordelais ont été interpellés lors de cette bataille rangée tandis que 7 autres supporteurs parisiens ont été arrêtés par la suite par des patrouilles de polices.

Coupe de la Ligue: 700 policiers mobilisés pour Paris - 14/01/2009

Source : AFP

Sept cents policiers et gendarmes seront mobilisés mercredi soir à l'occasion du match Paris SG - Lens comptant pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue, a-t-on appris mardi auprès de la préfecture de police (PP).

Le match n'a pas été classé à haut risque, a précisé le Paris SG.

La sécurité sera renforcée dès mercredi matin aux abords du Parc des Princes où se déroulera à 20H45 la rencontre entre le Paris SG et Lens, précise la PP dans un communiqué.

Il s'agira du premier match entre les deux équipes depuis la finale de l'édition 2008 marquée par l'épisode de la banderole ("Pédophiles, chômeurs, consanguins: bienvenue chez les Ch'tis") placardée par des supporteurs du Paris SG au Stade de France et qui avait suscité une vague d'indignation.

Une surveillance particulière du métro sera exercée par les effectifs de la sous-direction de la police régionale des transports (SDPRT), appuyés par des unités mobiles de renfort.

L'ouverture des portes est prévue à 19H15. Le contrôle des accès sera assuré par un contingent renforcé de contrôleurs et de stewards. Un dispositif spécifique de filtrage avec palpation de sécurité et recours à des détecteurs de métaux sera mis en place par les services de police.

Toute introduction de bouteilles en verre, alcool et artifices divers est prohibée. Avant l'ouverture des portes, les tribunes feront l'objet d'une fouille approfondie, selon la PP.

Soixante-seize personnes sont interdites d'accès au stade avec obligation de pointage, pendant le match, dans une gendarmerie ou un commissariat.

La circulation et le stationnement seront interdits aux abords du Parc des Princes, dans quelques rues du XVIe arrondissement, mercredi de 17H00 à minuit.

La vente de boissons alcoolisées sera interdite de mercredi 16H00 à jeudi 01H00 dans l'ensemble des débits de boissons et dans tous les points de vente situés aux abords du stade.

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« C'est un match sensible, on peut dire à risque mais pas à haut risque »

Source : La Voix du Nord

Avec l'affaire de la banderole, doit-on s'attendre à des difficultés, côté sécurité ? Réponse ici avec le responsable de la sécurité du RC Lens et un représentant de la police parisienne.

« C'est un match sensible, on peut dire à risque mais pas à haut risque. » Voilà comment résumait la situation, hier après-midi, un des policiers parisiens membre des ex-Renseignements généraux (RG) chargé de la surveillance des supporteurs du PSG. Et l'homme d'expliquer que le dispositif de sécurité était renforcé pour accueillir les (presque) deux mille lensois (indépendants compris) qui feront le déplacement. Au Parc des princes, entre 700 et 800 policiers seront dans le stade et aux alentours. Parmi eux les sept membres des ex-RG qui seront en civil dans les tribunes parmi les supporters parisiens. De son côté, le commissariat de Lens envoie quatre policiers, en civil aussi, pour être dans les tribunes avec les supporters lensois.
Damien Vanoise, directeur de la sécurité au RC Lens, a prévu 28 stadiers pour accompagner les 1 700 Lensois qui voyageront dans 31 bus. Le convoi sera escorté par des policiers en tenue dès le péage de Senlis (rendez-vous à 17 heures) et ce jusqu'à Paris, dans un parking protégé à Roland-Garros. À aucun moment, les fans des deux équipes ne se croiseront.
Damien Vanoise veut dédramatiser cette rencontre. « Pour nous c'est un déplacement classique au Parc des Princes. Du reste, tous les matches sont à risque. » Dédramatiser mais pas minimiser : « C'est un match sur lequel on reste très vigilants. » Même son de cloche du côté des RG parisiens : « On sera aux aguets. Les supporters seront tendus. Il suffirait d'un geste, d'une inscription sur un tee-shirt pour que ça dérape. » •

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Une sécurité et des contrôles renforcés

Source : Nord Eclair.fr

La dissolution de la section de supporters parisiens des « Boulogne Boys », après « l'affaire de la banderole », n'a peut-être été qu'un leurre dans l'emballement émotionnel et médiatique qui avait suivi la finale au stade de France. Pour preuve encore, trois supporteurs du PSG ont été condamnés lundi dernier à un mois de prison ferme tandis que cinq autres hooligans parisiens, et un bordelais, écopaient dans le même temps de quinze jours de prison après les violences qui ont eu lieu à Bordeaux, dans la nuit de samedi à dimanche.
Au Paris SG, malgré le durcissement de l'arsenal législatif, « il existe bien toujours une frange de supporteurs ultraviolents , explique une source proche du club parisien, une frange en sommeil qui peut se réveiller à tout moment, composée d'une population à l'équilibre fragile, capable de se mobiliser à la moindre étincelle ».

Dernière éruption en date : en coupe de l'UEFA face à Twente. Le 18 décembre, de violentes bagarres avaient éclaté dans Paris entre supporters des deux équipes. D'où la prise de certaines mesures de sécurité spécifiques, ce soir, aux alentours du Parc des Princes.
Si le match n'a pas été classé à haut risque, la sécurité sera tout de même renforcée aux abords de l'enceinte, avec une surveillance particulière du métro et un contrôle particulier des accès par un contingent de stewards supplémentaires (73 personnes, interdites d'accès au stade, devront pointer pendant le match, dans une gendarmerie ou un commissariat).

Lens : pas de surenchère
Un dispositif spécifique de filtrage avec palpation de sécurité et recours à des détecteurs de métaux sera mis en place par les services de police.
Il n'est pas question cette fois qu'un passage en force aux guichets permette de faire pénétrer dans l'enceinte une quelconque banderole. D'ailleurs, a vant l'ouverture des portes, les tribunes feront l'objet d'une fouille approfondie.
Côté lensois, pas de surenchère pour encadrer les 1 742 supporters qui effectueront le déplacement dans la capitale (un chiffre élevé pour une rencontre en milieu de semaine). « Notre dispositif, avec vingt-huit stadiers, un coordinateur et moi-même, est semblable à celui d'un match au PSG en championnat. Il n'y a pas eu de cahier des charges spécial », précise Damien Vanoise, le responsable sécurité du RCL.

Paris SG - RC Lens - Coupe de la Ligue - 14/01/2009

Source: http://www.rtlinfo.be

Foot/Coupe de la Ligue : deux interpellations pour saluts nazis lors de PSG-Lens

Deux supporteurs lensois ont été interpellés hier soir pour avoir effectué des saluts nazis durant le match Paris SG-Lens (2-0) au parc des Princes comptant pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue a-t-on appris auprès de la Licra et de source proche de l'enquête. Les deux supporteurs ont été placés en garde à vue pour exhibition de signes symboliques d'une idéologie et raciste et xénophobe a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête.

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Source: La Voix du Nord

Bilan de la soirée : pas d'incidents graves mais trois interpellations dans les tribunes lensoises

Le match était considéré « à risque » par les policiers parisiens, après l'affaire de la banderole. Au final la soirée a été sans heurts majeurs. Mais dans les tribunes lensoises et parisiennes, plus d'une dizaine de supporters au total ont été arrêtés, dont trois chez les Lensois. Plongée dans le dispositif de sécurité du match.

Les trente et un bus de supporteurs sont partis de Lens à 15 heures. Sur l'A1, juste après le péage de Senlis, des policiers parisiens en tenue, aidés par des RG parisiens, dont un qui filme, font signe aux bus de se garer sur le parking. Il est 17 heures et la première vague de bus est sur le point d'arriver. Là attendent également des spotteurs lensois, ces policiers en civil qui assurent la surveillance dans les tribunes. Les policiers lensois prennent la température.

À 17 h 15, une première vague de quinze bus part vers le Parc des Princes, escortée par des motards de la police. Quelques minutes plus tard, arrive la seconde vague de bus lensois. Cette fois ce sont seize cars qui arrivent au fur et à mesure. Un des spotteurs a reçu un coup de fil sur son portable.

Dans un des bus, un supporter énervé est agressif avec les autres. Il est extrait du bus, sermonné par les spotteurs. Pendant ce temps, sur le parking, les supporteurs sont sortis et scandent leurs chants. Un fumigène est allumé et placé sous une voiture immatriculée en 59. Pas malin.

La seconde vague de bus, elle aussi escortée par les motards, se dirige vers le Parc. On la suit. Les bus se stationnent près du Parc. Les supporters sortent. Ils se dirigent vers le stade. Ils sont plus de 1 700. Un cordon de CRS de chaque côté les suit. Devant et derrière le cortège, des gendarmes à cheval.

Au cours du match, un supporteur lensois est extrait des tribunes pour ivresse par un des vingt-huit stadiers lensois. Eux aussi ont fait le déplacement. Il sera placé dans une pièce au sous-sol du Parc, là où des policiers enregistrent les procédures des contrevenants et éventuellement les interdictions de stade. Le responsable du groupe de supporteurs auquel il appartient est prévenu par téléphone par le responsable de la sécurité du RC Lens.

À la fin de la rencontre, deux supporteurs lensois seront interpellés pour avoir fait des saluts nazis. Ils ont été repérés dans le PC de sécurité du Parc grâce aux caméras de vidéosurveillance. Une photo de chacun d'eux est imprimée et donnée aux spotteurs. Ils ont reçu l'appui de policiers de la BAC parisienne (brigade anti-criminalité) pour l'arrestation. Au final, trois personnes ont été interpellées côté lensois mais dix côté parisien pour divers délits (détentions de stupéfiants, bagarres, etc.). Les supporteurs lensois, eux, ont regagné leurs bus à pied, toujours sous escorte de CRS. Un Lensois, dans les couloirs du Parc des Princes, râlait qu'il y ait autant « de flics » dans les tribunes. Côté spotteurs lensois on déplorait que les supporteurs n'aient pas toujours conscience qu'ils étaient là autant pour la répression que pour leur sécurité.

COMMUNIQUE OFFICIEL ULTRAMARINES BORDEAUX


Suite au tapage provoqué par les incidents de la rencontre Bordeaux-Paris, le directoire des Ultramarines tient à s’exprimer ouvertement.

Aujourd’hui, nous tenons à éclaircir certains points qui nous paraissent importants, voire même primordiaux.

Les Ultramarines n’ont jamais nié avoir participé à ces incidents, la victimisation qui s’est opérée n’est pas de notre fait. La justice n’est pas dupe : pour preuve, la condamnation d’un des nôtres à une bien lourde peine.

Maintenant, chacun doit comprendre que nous sommes une association reconnue, et non des indépendants. Samedi soir, sous les yeux de policiers en faction sur place, ainsi que d’une caméra de surveillance voisine, une violente rixe, à notre large désavantage, a éclaté. Elle a amené son lot de dégradations, et la responsabilité des Ultramarines a été clairement reconnue.

Dimanche matin, comme après chaque exaction (des vols dans les stations aux fumigènes…) les responsables de l’association ont été convoqués face au DDSP (directeur départemental de la sécurité publique), ainsi que quatre commissaires dont un qui a assisté à l’intégralité de la scène.

Après plusieurs minutes de débat où nous avons tenté de minimiser l’affaire, une déposition a été enregistrée. Elle s’est faîte en fonction des témoignages des officiers de polices, qui ont vu un groupe d’assaillants (dont certains armés) se préparer à attaquer notre local ainsi que 6 pages de clichés pris après la bagarre. Sans parler des plaintes du voisinage, et des dégradations de véhicules…
Dans ces circonstances, difficile d’étouffer l’affaire…
Malgré pressions et menaces, c’est tout naturellement que nous avons refusé de porter plainte.

Contrairement à ce qui nous avait été garanti en amont, ces simples dépositions « pour la forme », ont été évoqués lors du procès. Chacun sait qu’ils n’ont, en réalité, pas influencé un jugement extrêmement sévère (et décidé d’avance, le seul fait que ces exactions aient concerné Paris garantissait un tel acharnement) chacun sait en revanche que son utilisation, nous en sommes conscients, a été de très mauvais goût.

Nous ne sommes pas désunis face à de telles sanctions, mais notre statut fait que nous sommes soumis à des responsabilités lourdes que beaucoup ignorent.
Stigmatiser les bordelais de « balances », c’est bien mal connaître ceux qui, samedi soir encore, malgré les coups encaissés, sont restés loyaux.
9 personnes en prison, personne ne peut s’en réjouir, c’est un coup dur pour tous.
Courage aux detenus.


ULTRAMARINES BORDEAUX 1987

Italie : Un policier accusé de meurtre - 16/01/2009

Source : AFP

Luigi Spaccarotella, le policier italien qui avait tué par balle fin 2007 un jeune supporter de la Lazio, a été renvoyé en justice pour homicide volontaire. Son procès débutera le 20 mars. Il avait d'abord été inculpé d'homicide par imprudence mais le juge du tribunal d'Arrezzo (centre-ouest de l'Italie) a aggravé le chef d'inculpation en «homicide volontaire».Gabriele Sandri, 28 ans, était décédé après avoir reçu un tir du policier après une rixe avec des supporters de la Juventus Turin sur une aire d'autoroute à Arezzo. Le policier avait affirmé qu'il n'avait pas visé la victime mais qu'il avait commis une erreur. De violents affrontements avaient éclaté après la mort du supporter entre ultras radicaux et forces de l'ordre dans plusieurs villes italiennes.

Saluts nazis dans les tribunes du Parc des Princes : les deux supporters lensois jugés le 12 février - 17/01/2009

Source : Nord Eclair.fr

Ils ont 20 et 31 ans et sont originaires de Bruay-La Buissière et de Richebourg. Ces deux supporteurs du RC Lens ont été filmés par les caméras de vidéo-surveillance du Parc des Princes en train de faire des saluts nazis (nos éditions d'hier et d'avant-hier). Les deux supporteurs lensois ont été placés en garde à vue, à la toute fin du match. Ils ont été laissés libres après avoir été présentés au parquet de Paris, hier. Ils seront jugés les 12 février au tribunal correctionnel de Paris pour « introduction ou port dans une enceinte sportive d'objet ou d'insigne se rapportant à une idéologie raciste ou xénophobe » et « état d'ivresse dans une enceinte sportive », selon les qualifications retenues par le ministère public. Les deux hommes appartiennent à un groupe de supporteurs ultras réputé d'extrême-gauche. Les saluts nazis n'auraient été qu'une provocation stupide à l'égard des supporteurs parisiens, selon nos informations.

Birmingham City - Wolverhampton Wanderers - FA Cup - 13/01/2009

Source : Birminghammail.net

La police est intervenue avant et après la rencontre de FA Cup pour séparer les hooligans des deux camps qui s'affrontaient.
Une violente bagarre a éclaté Digbeth High Street. La police a été bombardée de pierres et de canettes durant son intervention. Un hélicoptère de la police coordonnait les opérations au sol. 14 hooligans ont été interpellés.



Traduction Underground Fans

Chypre : Omonoia - APOEL - 17/01/2008

Source : Famagusta Gazette + Gate 9 website

Les policiers ont indiqué que de sérieux incidents les ont opposé aux supporters des deux camps.

La police a été obligéé de tirer des gaz lacrymogènes pour disperser les émeutiers.

14 supporters et 19 policiers ont été admis aux urgences de l'hôpital de Nicosie. Un policier a été transféré à l'hôpital suite à une sérieuse blessure à la jambe. Ilsera opéré ce jour.

Après la rencontre, toujours selon la police, 250 fans d'Omonia ont réussi à passer le cordon de sécurité qui les séparait de leurs rivaux. Les supporters locaux ont alors bombardé les fans d'Apoel et la police avec divers objets.

5 supporters ont été interpellés avant et après la rencontre.





Traduction Underground Fans

Eurocup basketball : Turk Telekom (Turquie) - Bnei Hasharonthe (Israël) - 06/01/2009

Source : Reuters

Le match de basket joué à Ankara a été interrompu suite à des violences entre supporters turcs et policiers anti-émeutes. Les supporters ont crié "Israël, assassins" a rapporté un journaliste de SkyTurk.

OGC Nice - AJ Auxerre - 17/01/2009

Source: http://www.letuyo.info